lundi 12 octobre 2009

Et c'est les mains gelées que j'écris...HAIS, HAIS, HAIS, HAIS, HAIS...»








Je n'ai et n'aurai sans soute jamais le courage, d'un pardon. En un regard on s'est souris, peut-être un peu naîvement, ou niaisement, je ne sais pas, je ne sais plus. Nos mots sont-ils des maux? à présent oui, pourquoi ? On ne gomme pas si facilement nos rires, nos pleures, nos musiques, nos nuits. je peux encore t'imaginer sur ce lit, revoir les traits de ton visage, entendre le son de ta voix. Tu connais mes moindres pensées, c'était bien la le probléme. Puis tu m'as regardé droit dans les yeux, tu me la chantés puis criés, c'était si beau que j'ai fermé les yeux et puis j'ai dit adieu, et on s'est dit au revoir. Ca y est, n'en parlons plus veux-tu...N'essaie pas de me retenir. Ça n'en vaut pas la peine, vraiment pas. Je ne t'aime plus, vraiment plus.

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